Trojan

janv. 21 2015

« Je suis Charlie » et les hackers

Les tendances négatives et les événements tragiques sont particulièrement tentants à exploiter. Les hackers sur Internet y trouvent ainsi un terreau propice pour mettre à exécution des programmes malveillants. Le drame de Charlie Hebdo est donc l'occasion rêvée de propager des malwares ( On ne mentionnera pas ici la récupération politique qui peut en être faite ) et d'utiliser à des fins criminelles le slogan « je suis Charlie ».
La société américaine Blue Coat a diffusé ce message d'alerte sur le net : depuis quelques jours un logiciel malveillant se propage sur la toile. Pour le moment on ne sait pas vraiment comment. Une consigne est passée : ne faire confiance ni aux email ni aux liens provenant de sources inconnues.